Description
Août 2015 au départ de Nice pour Naples, l’impatience se fait ressentir pour la découverte de la côte Amalfitaine avec ses villages escarpés.
La première halte sera sur l’île de Capri, impossible de ne pas fredonner « Capri c’est fini… la ville de mon premier amour… ».
Mais avant, arrivée à Naples et direction Sorrento en Fiat 500 décapotable pour adopter l’esprit « DOLCE VITA ». Au bord de la route se trouvent moult vendeurs de citron, limoncello, granita di limone et autres fruits et légumes.
Une fois à Sorrento, traversée en bateau jusqu’à Capri.
À première vue, Capri ressemble à un énorme rocher composé de pierres calcaires et d’abondante végétation bien verte.
Une fois au port, ce qui m’a le plus marqué est sa petitesse et l’effervescence qui s’y dégage et surtout l’odeur de la mer.
Direction l’hôtel haut perché. Pour s’y rendre, c’est toute une ascension entre le dénivelé et l’étroitesse des chemins. Mais il ne faut pas s’inquiéter, ça passe toujours … 😉
Sur le chemin réside une végétation très verte qui apporte ombre et fraîcheur en contraste total avec ce soleil qui tape si fort.
Une fois sur les lieux, premier constat « il ne faut absolument pas avoir le vertige ». Mais cette sensation vertigineuse est magnifique c’est comme un mélange d’amour et de liberté, en bref c’est ROMANTIQUE et VIVIFIANT.
La végétation qu’offre l’île est abondante cyprès, verveines citronnée, … il est IMPOSSIBLE de louper les citrons de Capri qui on la taille d’un ballon de rugby qui sont les cédrats et dégagent une odeur qui pique le bout du nez. Comme lorsquel’on ouvre une bouteille de tonic.
La chaleur méditerranéenne est présente et ce n’est pas un mythe. La découverte de l’île en petit bateau a été magnifique, avec un arrêt à la FONTELINA, plage emblématique de Capri où il est indispensable de faire un plouf pour se rafraîchir, l’eau est si foncée et pure… c’est magique. Mais juste avant un petit stop pour admirer la villa MALAPARTE qui me fait penser à mes cours d’histoire de l’art et au film « LE MEPRIS » de Godard. Sur le parcours, on découvre plusieurs lieux historiques de l’île.
Si je devais résumer Capri en couleurs ça serait le jaune des cédrats, le bleu profond de la mer et le vert de la végétation. Et une nourriture parfaite, riche en goût, couleurs et odeurs. Je sens la tomate de la salade Caprese en rédigeant ces lignes…
Maintenant Capri c’est fini mais c’est pour mieux y retourner !
& entre temps j’ai revu Capri et rien n’a changé.